POLTERGEIST : nouvel EP "Noise CLub"

Publié le 1 octobre 2025 à 10:46

POLTERGEIST dévoile son nouvel EP "Noise CLub" un manifeste électronique entre extase et dystopie

 

Après deux singles percutants, POLTERGEIST lève le voile sur "Noise Club", un EP conceptuel et viscéral à paraître le 17 octobre. Une œuvre totale, à la croisée des chemins entre rave déchue, techno martiale et clubbing romantique.

"Noise Club" n’est pas un simple disque : c’est un manifeste sonore, une odyssée post-club qui explore les vestiges de nos extases artificielles. À travers une production brute, organique et mystique, chaque morceau s’impose comme un chapitre sensoriel autonome, convoquant la transe industrielle et les psaumes électroniques. Entre dystopie et poésie synthétique, POLTERGEIST cartographie un monde en décompression, où le corps danse encore pour ne pas sombrer.

Inspiré par des figures majeures comme Kraftwerk, Vitalic, Gesaffelstein ou Paul Kalkbrenner, POLTERGEIST poursuit son exploration de la culture club comme mythologie contemporaine. Après une tournée de 50 dates en France et en Suisse, cet EP confirme l’ascension d’un artiste insaisissable, qui place la musique électronique au cœur d’une expérience existentielle.

Avec "Noise Club", la fête devient mémoire, exutoire et prière. Un disque à écouter fort, les yeux fermés, les sens ouverts.

Pour accompagner la sortie, POLTERGEIST dévoile le clip de « Marche ou Rave », plongée dans un univers parallèle dystopique où les âmes se recueillent dans l’art et l’extase pour échapper aux fantômes d’une société post-industrielle. Ce lieu, ils l’appellent le Noise Club.

Réalisé en collaboration avec The Post War Idioma, artiste IA italien, illustrateur et musicien, le clip s’inspire de l’imagerie d’Aphex Twin, Madben, Chemical Brothers ou encore Michel Gondry. Les personnages évoquent l’univers de David Szauder et Petr Vàlek, tandis que les costumes semblent tout droit sortis de la planète Walter Van Beirendonck.

« Sans le budget d’un blockbuster, quoi de plus logique que de se tourner vers l’intelligence artificielle pour retranscrire cet univers dystopique et futuriste ? », explique l’artiste.

Le résultat : un monde froid, mécanisé, aux allures de Berlin désaffecté, où la vie résonne encore entre les murs. Un cocktail de créativité post-apocalyptique, reflet d’une société malade, où la nature peine à reprendre ses droits. Mais dans ce chaos, le dieu Rave veille encore, et nous ouvre la voie du Noise Club.

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