An Abstract Illusion explore les abîmes de la psyché humaine dans un nouvel album atmosphérique et dystopique avec "The Sleeping"

Le groupe suédois de Black Death Metal progressif et atmosphérique, An Abstract Illusion, revient avec son troisième album studio, "The Sleeping City", disponible dès maintenant via Willowtip Records. Proposé en CD, édition limitée longbox, vinyle 2xLP et format numérique, ce nouvel opus s’écoute également en streaming intégral.

Avec "The Sleeping City", le groupe imagine la bande-son d’un film de science-fiction dystopique, dans la veine de Blade Runner ou Terminator, mais réinterprétée à travers le prisme du death metal progressif. Le résultat : une œuvre dense, cinématographique et émotionnellement chargée, qui évoque des paysages sonores vastes et déchirés, tout en explorant les abîmes de la souffrance humaine.

“Nous ne voulons pas que nos albums soient une simple suite de morceaux. Il doit y avoir un fil conducteur, une cohérence globale,” explique le groupe.
Inspiré par des artistes aussi variés que Depeche Mode, My Bloody Valentine, Kite, Ólafur Arnalds et Boards of Canada, "The Sleeping City" élargit considérablement la palette sonore du groupe. Après le format long de Woe, ce nouvel album revient à des morceaux autonomes, avec une structure plus définie, tout en conservant une ambiance immersive et introspective.

L’album a été produit par Karl Westerlund, guitariste et bassiste du groupe, mixé et masterisé par Robin Leijon (Deception, Equilibrium, Maestitium) et les batteries ont été enregistrées par Jakob Herrmann (Devin Townsend, Evergrey, Vildhjärta) aux Top Floor Studios de Göteborg.

L’artwork, signé Alex Eckman-Lawn (Horrendous, Woe, Nero Di Marte), rend hommage aux visuels sombres et mystiques des débuts du Black Metal, renforçant l’identité visuelle de cette ville endormie, monument décrépit mais imposant.

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