Split Chain dévoile "motionblur" un premier album viscéral et sans compromis
Le quintet britannique Split Chain, originaire de Bristol, marque un tournant majeur dans sa jeune carrière avec la sortie de son premier album "motionblur", disponible dès aujourd’hui via Epitaph Records. Après avoir partagé la scène avec A Day To Remember à l’Olympia ou encore Amira Elfeky aux Étoiles, le groupe confirme son ascension fulgurante avec un disque aussi intense qu’émotionnel.
Composé de 11 titres, motionblur navigue entre grunge, néo-metal, shoegaze et metal alternatif, dans une fusion sonore audacieuse et profondément personnelle. Les singles "Subside" et "I'm Not Dying To Be Here" avaient déjà donné le ton, mais c’est avec le clip de "SPIT", dévoilé aujourd’hui, que Split Chain expose pleinement la noirceur et la vulnérabilité qui traversent l’album.
"'SPIT' est la chanson la plus personnelle que j’ai jamais écrite", confie Tom Davies (basse). "Elle plonge dans mes luttes avec la santé mentale et la dépendance. C’est une mise à nu, une catharsis, et un rappel que malgré les pensées absurdes qui m’envahissent, je suis assez fort pour les surmonter."
Le chanteur Bert Martinez-Cowles décrit "motionblur" comme une œuvre dédiée à celles et ceux qui se sentent différents, perdus ou en lutte. "Ce disque s’adresse à tous ceux qui traversent une épreuve. Il dit qu’il n’y a rien de mal à être authentique."
Musicalement, l’album évoque des influences telles que Deftones, Superheaven ou Narrowhead, mêlant mélancolie grunge, textures shoegaze et éclats de metal abrasif. Une coalescence sonore qui reflète la liberté créative du groupe : "Aucun d’entre nous n’a de contrôle sur Split Chain. Split Chain fait simplement ce qu’il veut et ce dont il a besoin."
Et ce n’est que le début : Split Chain repartira en tournée européenne en fin d’année, aux côtés de Landmvrks et Underoath, avec des arrêts prévus notamment à Lille et Meisenthal.

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